Delphine Delepaut

 

C’est en 1978 que Delphine marqua sa naissance, non par un cri, mais par un éclat de rire qui gagna les médecins de la maternité de Mâcon.

Elle commence ces premiers cours de théâtre à l’âge de 13 ans et très vite elle sait qu’elle veut en faire son métier, alors elle commence par créer son association  » Les Hespérides » en 1999, de là naissent les premières écritures théâtrales puis les premières représentations en solo.

Une rencontre émouvante avec Michel Galabru, en 2003, parrain du festival de Genas la conforte dans son choix artistique, à savoir, persévérer dans le domaine du seule en scène.

Deux ans plus tard, début dans le café-théâtre grâce à une belle rencontre avec Cyrille Coton, premières auditions pour des festivals d’humour puis premier spectacle « Restons Simple » qui sera joué au festival d’Avignon.

Spectacle plié en 2004 et nouvel enjeu avec « Jeux d’rôles », second spectacle avec lequel s’enchaîneront les programmations, les sélections en festival, les prix… puis dans le grand huit de 2008 naîtra petit à petit « Motamorphoses ».

Elle a écouté tonton Michel et depuis Delphine a écrit 6 solos, 2 duo (avec Didier Nathan et Cyrille Coton) et 1 comédie !

Elle enseigne également des cours de Café-Théâtre à la MJC de Villeurbanne de 09/2005 à 06/2012, puis au Théâtre des Voraces à Lyon depuis 09/2014 et anime un atelier Théâtre en partenariat avec la Ligue contre le Cancer à Lyon également.

 

Un peu de jeux de mots, beaucoup de personnages, passionnément énergique et follement drôle! Texte ciselé, visage très expressif, elle capte son auditoire ! Delphine nous entraîne dans une valse de sketchs où défilent des personnages aussi drôles qu’attachants !

78 Tours

La création vintage !

Un voyage hilarant au cœur des années 70/80.

Que l’on soit ce fougueux vingtenaire biberonné aux références de ses parents, ce quarantenaire soucieux de compléter ses souvenirs des années Giscard ou Mitterrand ou encore ce baby-boomer décidé à se replonger une fois de plus dans sa folle jeunesse en reniflant la colle Cléopâtre, une chose nous unit : l’envie d’échapper à l’hystérie du moment en appuyant sur la touche retour du magnétoscope. Spectacle ni réac, ni rétro, juste drôle !

 

Delphine a su, par la force de son caractère, son talent et sa persévérance percer petit à petit la scène lyonnaise. Peut-être bientôt une figure incontournable du comique féminin français. Chapeau bas pour cette heure de spectacle qui vous promet bien des surprises.
LE PROGRÈS – Lyon

Elle, c’est un vrai pouvoir d’incarnation, chez laquelle pointe l’exigence d’une Lemercier, son prénom ? Delphine, et il faudra s’en souvenir…
LA PROVENCE